| Titre : |
Fin du voyage |
| Type de document : |
document projeté ou vidéo |
| Auteurs : |
Sarah Nabli |
| Editeur : |
Strasbourg : RUE 89 |
| Année de publication : |
2014 |
| Importance : |
25 min |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Alsace ; conséquence de la sédentarisation ; Film documentaire ; France ; Habitat ; Habitat adapté ; Relogement ; Sédentarisation
|
| Résumé : |
Quartier du Polygone à Strasbourg
Une vaste opération de rénovation urbaine est en cours pour reloger les familles manouches et gitanes, installées depuis les années dans 60 sur un terrain vague, à 10 minutes du centre ville de Strasbourg. Caravanes et maisonnettes auto-construites ont vu naître plusieurs générations qui se sont fixées sur ce terrain dans des conditions souvent très précaires (invasions de rats, absences de sanitaires, problème d'électricité). Le terrain a été déclaré insalubre par la préfecture du Bas Rhin en 2000.
En 2012, une première tranche de 50 pavillons a été livrée sur l'emplacement des anciennes constructions qui ont été rasées. Cette opération qui s'achèvera en 2017, concerne 170 familles (soit un total de 150 pavillons).
Le film de Sarah Nobil recueille les impressions des premiers bénéficiaires de cette opération. Si le confort est unanimement apprécié, de nombreuses critiques sont émises sur le manque de concertation des habitants pour la réalisation du projet, sur la mauvaise qualité des maisons qui présentent deja des défauts de construction. Certaines personnes se sentent en prison entre quatre murs et ressentent l'isolement lié à ce nouveau de mode de vie qui leur fait craindre de perdre leur culture et leur identité. |
Fin du voyage [document projeté ou vidéo] / Sarah Nabli . - Strasbourg : RUE 89, 2014 . - 25 min. Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
Alsace ; conséquence de la sédentarisation ; Film documentaire ; France ; Habitat ; Habitat adapté ; Relogement ; Sédentarisation
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| Résumé : |
Quartier du Polygone à Strasbourg
Une vaste opération de rénovation urbaine est en cours pour reloger les familles manouches et gitanes, installées depuis les années dans 60 sur un terrain vague, à 10 minutes du centre ville de Strasbourg. Caravanes et maisonnettes auto-construites ont vu naître plusieurs générations qui se sont fixées sur ce terrain dans des conditions souvent très précaires (invasions de rats, absences de sanitaires, problème d'électricité). Le terrain a été déclaré insalubre par la préfecture du Bas Rhin en 2000.
En 2012, une première tranche de 50 pavillons a été livrée sur l'emplacement des anciennes constructions qui ont été rasées. Cette opération qui s'achèvera en 2017, concerne 170 familles (soit un total de 150 pavillons).
Le film de Sarah Nobil recueille les impressions des premiers bénéficiaires de cette opération. Si le confort est unanimement apprécié, de nombreuses critiques sont émises sur le manque de concertation des habitants pour la réalisation du projet, sur la mauvaise qualité des maisons qui présentent deja des défauts de construction. Certaines personnes se sentent en prison entre quatre murs et ressentent l'isolement lié à ce nouveau de mode de vie qui leur fait craindre de perdre leur culture et leur identité. |
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