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L'accès aux droits des Rroms / Jacqueline Charlemagne ; Saimir Mile ; Kriss Romani
Titre : L'accès aux droits des Rroms : Emission Repères, RFI, 9 juin 2006 Type de document : enregistrement sonore non musical Auteurs : Jacqueline Charlemagne ; Saimir Mile ; Kriss Romani Année de publication : 2006 Mots-clés : Accès aux droits ; Discrimination ; Emission de radio L'accès aux droits des Rroms : Emission Repères, RFI, 9 juin 2006 [enregistrement sonore non musical] / Jacqueline Charlemagne ; Saimir Mile ; Kriss Romani . - 2006.
Mots-clés : Accès aux droits ; Discrimination ; Emission de radio Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Après le trottoir c’est le caniveau ? / Roms : De la rue au logement (Roms sweet home) / Roms : Une expérimentation qui fonctionne / Esthéra, 13 ans et demi et huit années dans les rues
Titre : Après le trottoir c’est le caniveau ? / Roms : De la rue au logement (Roms sweet home) / Roms : Une expérimentation qui fonctionne / Esthéra, 13 ans et demi et huit années dans les rues : émission Périphéries. France Inter. Octobre 2012 Type de document : enregistrement sonore non musical Année de publication : 2012 Importance : 4 x 10 min Langues : Français (fre) Mots-clés : Compte rendu d'actions ; Emission de radio ; France ; Insertion sociale ; Marseille ; Relogement ; Rom migrant Résumé : Après le trottoir c’est le caniveau ?
Depuis plusieurs semaines les expulsions des campements de fortune des Rroms se multiplient à Marseille.
De l’avis unanime des associations qui accompagnent ces migrants venus essentiellement de Roumanie ou de Bulgarie, leurs conditions de vie se dégradent et de plus en plus de Rroms campent maintenant à même les trottoirs de la cité phocéenne.
Pour les semaines à venir, Périphéries s’installe dans les quartiers nord de Marseille à la rencontre de ces migrants et des acteurs de terrain qui les accompagnent et mettent en œuvre des solutions souvent efficaces d’intégration.
Premier volet de cette série aujourd’hui avec le cri d’alarme des acteurs associatifs.
Roms : De la rue au logement (Roms sweet home)
Deuxième volet cette semaine de la série que Périphéries consacre aux Roms de Marseille.
Depuis l’année dernière, la Fondation Abbé Pierre, l’association méditerranéenne pour l’insertion par le logement et la région ont développé un dispositif pilote pour accompagner vers l’emploi et le logement des familles Roms.
Un dispositif progressif qui commence par la mise à l’abri sur un terrain privé et s’achève par une installation dans des logements disséminés sur l’ensemble de la commune.
Dix familles sont déjà installées chez elles et huit autres continuent le processus grâce à des autorisations provisoires de séjour, délivrées par la préfecture.
Périphéries refait le parcours de ces familles…
Roms : Une expérimentation qui fonctionne
troisième volet cette semaine de la série que Périphéries consacre aux Roms de Marseille.
Selon Médecins du Monde, la moitié des 1 500 Roms de Marseille vivent aujourd’hui à même les trottoirs de la ville, alors qu’en janvier 2011, 90% d’entre eux vivaient dans des conditions moins précaires, sur des terrains ou dans des squatts.
Face à cette dégradation rapide des conditions de vie de Roms, l’association méditerranéenne pour l’insertion par le logement (AMPIL) continue à développer un programme pilote d’accompagnement vers l’emploi et le logement de familles Roms qui fait ses preuves.
Dix huit familles ont déjà été prises en charge grâce à un accord avec la préfecture qui délivre des autorisations provisoires de séjour.
Kader Attia, le directeur de l’AMPIL revient sur les modalités de ce dispositif qui pourrait selon lui prendre en charge un nombre beaucoup plus important de familles.
Esthéra, 13 ans et demi et huit années dans les rues
Dernier volet cette semaine de la série que Périphéries a consacré aux Roms de Marseille.
Depuis quelques semaines, Esthéra, sa mère et son frère occupent un appartement au dernier étage d’un immeuble inoccupé de Marseille.
Une révolution pour cette petite famille qui auparavant a erré pendant huit années au gré des expulsions, de squats en parcs et de campements en trottoirs à travers Marseille.
Un toit obtenu grâce à la mobilisation de Dominique une militante associative et au soutien de la Fondation abbé Pierre qui a pris en charge une partie des travaux nécessaires.
Périphéries vous propose cette semaine de faire la connaissance d’Esthéra, une enfant de la misère et de l’immigration roumaine.
Une enfant, aujourd’hui élève de 5ème, qui a 13 ans a passé huit années à la rue…
Après le trottoir c’est le caniveau ? / Roms : De la rue au logement (Roms sweet home) / Roms : Une expérimentation qui fonctionne / Esthéra, 13 ans et demi et huit années dans les rues : émission Périphéries. France Inter. Octobre 2012 [enregistrement sonore non musical] . - 2012 . - 4 x 10 min.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Compte rendu d'actions ; Emission de radio ; France ; Insertion sociale ; Marseille ; Relogement ; Rom migrant Résumé : Après le trottoir c’est le caniveau ?
Depuis plusieurs semaines les expulsions des campements de fortune des Rroms se multiplient à Marseille.
De l’avis unanime des associations qui accompagnent ces migrants venus essentiellement de Roumanie ou de Bulgarie, leurs conditions de vie se dégradent et de plus en plus de Rroms campent maintenant à même les trottoirs de la cité phocéenne.
Pour les semaines à venir, Périphéries s’installe dans les quartiers nord de Marseille à la rencontre de ces migrants et des acteurs de terrain qui les accompagnent et mettent en œuvre des solutions souvent efficaces d’intégration.
Premier volet de cette série aujourd’hui avec le cri d’alarme des acteurs associatifs.
Roms : De la rue au logement (Roms sweet home)
Deuxième volet cette semaine de la série que Périphéries consacre aux Roms de Marseille.
Depuis l’année dernière, la Fondation Abbé Pierre, l’association méditerranéenne pour l’insertion par le logement et la région ont développé un dispositif pilote pour accompagner vers l’emploi et le logement des familles Roms.
Un dispositif progressif qui commence par la mise à l’abri sur un terrain privé et s’achève par une installation dans des logements disséminés sur l’ensemble de la commune.
Dix familles sont déjà installées chez elles et huit autres continuent le processus grâce à des autorisations provisoires de séjour, délivrées par la préfecture.
Périphéries refait le parcours de ces familles…
Roms : Une expérimentation qui fonctionne
troisième volet cette semaine de la série que Périphéries consacre aux Roms de Marseille.
Selon Médecins du Monde, la moitié des 1 500 Roms de Marseille vivent aujourd’hui à même les trottoirs de la ville, alors qu’en janvier 2011, 90% d’entre eux vivaient dans des conditions moins précaires, sur des terrains ou dans des squatts.
Face à cette dégradation rapide des conditions de vie de Roms, l’association méditerranéenne pour l’insertion par le logement (AMPIL) continue à développer un programme pilote d’accompagnement vers l’emploi et le logement de familles Roms qui fait ses preuves.
Dix huit familles ont déjà été prises en charge grâce à un accord avec la préfecture qui délivre des autorisations provisoires de séjour.
Kader Attia, le directeur de l’AMPIL revient sur les modalités de ce dispositif qui pourrait selon lui prendre en charge un nombre beaucoup plus important de familles.
Esthéra, 13 ans et demi et huit années dans les rues
Dernier volet cette semaine de la série que Périphéries a consacré aux Roms de Marseille.
Depuis quelques semaines, Esthéra, sa mère et son frère occupent un appartement au dernier étage d’un immeuble inoccupé de Marseille.
Une révolution pour cette petite famille qui auparavant a erré pendant huit années au gré des expulsions, de squats en parcs et de campements en trottoirs à travers Marseille.
Un toit obtenu grâce à la mobilisation de Dominique une militante associative et au soutien de la Fondation abbé Pierre qui a pris en charge une partie des travaux nécessaires.
Périphéries vous propose cette semaine de faire la connaissance d’Esthéra, une enfant de la misère et de l’immigration roumaine.
Une enfant, aujourd’hui élève de 5ème, qui a 13 ans a passé huit années à la rue…
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
_1URL
_1URL
_1URL
_1URL Bohème et bohémiens (1/2/3)
Titre : Bohème et bohémiens (1/2/3) : Emission La Fabrique de l'Histoire - France Culture Type de document : enregistrement sonore non musical Année de publication : 2012 Importance : 53 min. Langues : Français (fre) Mots-clés : Emission de radio Résumé : - 1ère émission :
Premier temps d’une semaine raccourcie de la Fabrique de l’histoire, pour cause de messe de Toussaint jeudi.
Trois émissions donc consacrées à la Bohème et aux Bohémiens.
Demain nous vous proposons un documentaire signé Perrine Kervran et Renaud Dalmar titré « Des tsiganes sous
surveillance / du carnet anthropométrique au carnet de circulation. ». on y raconte comment en 1912, la république a
instauré pour les nomades un carnet anthropométrique utilisant les découvertes alors récentes de Mr Berthillon.
Mercredi nous visiterons l’exposition « Bohèmes » qui vient de commencer au Grand palais à Paris en nous demandant
comment le bohémien , figure classique de l’art européen depuis le XVI ème siècle, devient dans la première moitié du XIX
ème siècle un modèle de liberté pour de jeunes artistes en rupture avec l’académisme.
Nous commençons ce matin en évoquant la musique manouche, celle de Django Reinhardt, au coeur d’une autre exposition
à la cité de la Musique à Paris. Django, « fils de l’air » comme l’avait qualifié avant la seconde guerre mondiale Jean
Cocteau. Comment ce musicien, après avoir essayé le violon et le banjo, est-il devenu l’inventeur de la guitare jazz ? Pourquoi a-t-il été fasciné par la musique noire ? Qu’a-t-il inventé avec Stephane Grapelli, son frère Joseph et le quintette du Hot Club de
France ?
C‘est ce que nous verrons avec notre invité Vincent Bessières, commissaire de l’exposition Django, et avec son invité que nous découvrirons à 9 heures 30.
Invité(s) :
Vincent Bessières, commissaire de l’exposition Django Reinhardt à la Cité de la musique. Bruno Le Jean, réalisateur
- 2ème émission :
Dans le sillage des nationalismes de 1870, les pays d’Europe mettent les étrangers sous surveillance. On a peur de l’ennemi, du traitre, de l’espion et bientôt aussi on a peur des « bohémiens ». Alors on commence par créer une catégorie administrative : celle des nomades, (qui ne sont ni des forains, ni des marchands ambulants), puis l’Etat va les recenser et leur imposer un carnet anthropométrique, dans lequel figurent leurs photos face profil ; leurs empreintes digitales, des mensurations précises de leur corps et une liste de leurs caractéristiques et signes particuliers ;
selon la méthode Bertillon qui s’applique d’ordinaire aux criminels et aux récidivistes…
Chaque « nomade » en a un à partir de 13 ans et le chef de famille en a un autre, collectif qui recense toutes la famille…
Ce carnet donne des obligations aux nomades qui doivent le faire signer à l’arrivée et à la sortie de chaque ville où ils stationnent, ville dans lesquelles ils ne peuvent rester plus de 48h. On leur impose aussi un contrôle des vaccinations et une plaque de métal fixée à leurs véhicules.
Ils sont stigmatisés, sans cesse contrôlés, en relation permanente avec l’administration. L’idée étant de rendre leur mode de vie impraticable, de les sédentariser ou de les chasser quand bien même ils sont français depuis des générations…
A partir de 1940 toujours selon le principe et le prétexte de la peur de l’espion, la troisième république assigne les nomades à résidence puis à la demande des allemands internés dans ces camps de rétention, qu’à l’époque on désigne sous le nom de camps de concentration. Ils sont d’autant plus facilement repérables qu’ils sont fichés depuis 1912 et ils ne seront libérés qu’après la libération, en mai 1946, en ayant été dépouillés.
Avec Toto Hoffmann, Raymond Gurème, Jacques Sigot, Jean Richard, Milo Delage et Emmanuel Filhol.
- 3ème émission :
Balade radiophonique enregistrée dans le cadre de l’exposition Bohèmes au Grand Palais.
Invité(s) :
Sylvain Amic, commissaire de l'exposition.
Christine Peltre, professeur d'Histoire de l'art à l’Université de Strasbourg.
Ségolène Le Men, professeur d'histoire de l'art contemporain à l'Université de Paris 10 - Nanterre.
Bohème et bohémiens (1/2/3) : Emission La Fabrique de l'Histoire - France Culture [enregistrement sonore non musical] . - 2012 . - 53 min.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Emission de radio Résumé : - 1ère émission :
Premier temps d’une semaine raccourcie de la Fabrique de l’histoire, pour cause de messe de Toussaint jeudi.
Trois émissions donc consacrées à la Bohème et aux Bohémiens.
Demain nous vous proposons un documentaire signé Perrine Kervran et Renaud Dalmar titré « Des tsiganes sous
surveillance / du carnet anthropométrique au carnet de circulation. ». on y raconte comment en 1912, la république a
instauré pour les nomades un carnet anthropométrique utilisant les découvertes alors récentes de Mr Berthillon.
Mercredi nous visiterons l’exposition « Bohèmes » qui vient de commencer au Grand palais à Paris en nous demandant
comment le bohémien , figure classique de l’art européen depuis le XVI ème siècle, devient dans la première moitié du XIX
ème siècle un modèle de liberté pour de jeunes artistes en rupture avec l’académisme.
Nous commençons ce matin en évoquant la musique manouche, celle de Django Reinhardt, au coeur d’une autre exposition
à la cité de la Musique à Paris. Django, « fils de l’air » comme l’avait qualifié avant la seconde guerre mondiale Jean
Cocteau. Comment ce musicien, après avoir essayé le violon et le banjo, est-il devenu l’inventeur de la guitare jazz ? Pourquoi a-t-il été fasciné par la musique noire ? Qu’a-t-il inventé avec Stephane Grapelli, son frère Joseph et le quintette du Hot Club de
France ?
C‘est ce que nous verrons avec notre invité Vincent Bessières, commissaire de l’exposition Django, et avec son invité que nous découvrirons à 9 heures 30.
Invité(s) :
Vincent Bessières, commissaire de l’exposition Django Reinhardt à la Cité de la musique. Bruno Le Jean, réalisateur
- 2ème émission :
Dans le sillage des nationalismes de 1870, les pays d’Europe mettent les étrangers sous surveillance. On a peur de l’ennemi, du traitre, de l’espion et bientôt aussi on a peur des « bohémiens ». Alors on commence par créer une catégorie administrative : celle des nomades, (qui ne sont ni des forains, ni des marchands ambulants), puis l’Etat va les recenser et leur imposer un carnet anthropométrique, dans lequel figurent leurs photos face profil ; leurs empreintes digitales, des mensurations précises de leur corps et une liste de leurs caractéristiques et signes particuliers ;
selon la méthode Bertillon qui s’applique d’ordinaire aux criminels et aux récidivistes…
Chaque « nomade » en a un à partir de 13 ans et le chef de famille en a un autre, collectif qui recense toutes la famille…
Ce carnet donne des obligations aux nomades qui doivent le faire signer à l’arrivée et à la sortie de chaque ville où ils stationnent, ville dans lesquelles ils ne peuvent rester plus de 48h. On leur impose aussi un contrôle des vaccinations et une plaque de métal fixée à leurs véhicules.
Ils sont stigmatisés, sans cesse contrôlés, en relation permanente avec l’administration. L’idée étant de rendre leur mode de vie impraticable, de les sédentariser ou de les chasser quand bien même ils sont français depuis des générations…
A partir de 1940 toujours selon le principe et le prétexte de la peur de l’espion, la troisième république assigne les nomades à résidence puis à la demande des allemands internés dans ces camps de rétention, qu’à l’époque on désigne sous le nom de camps de concentration. Ils sont d’autant plus facilement repérables qu’ils sont fichés depuis 1912 et ils ne seront libérés qu’après la libération, en mai 1946, en ayant été dépouillés.
Avec Toto Hoffmann, Raymond Gurème, Jacques Sigot, Jean Richard, Milo Delage et Emmanuel Filhol.
- 3ème émission :
Balade radiophonique enregistrée dans le cadre de l’exposition Bohèmes au Grand Palais.
Invité(s) :
Sylvain Amic, commissaire de l'exposition.
Christine Peltre, professeur d'Histoire de l'art à l’Université de Strasbourg.
Ségolène Le Men, professeur d'histoire de l'art contemporain à l'Université de Paris 10 - Nanterre.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Bohème et bohémiens (1)URL
Bohème et bohémiens (2)URL
Bohème et bohémiens (3)URL
Titre : De la boue, des rats et des Roms : Emission Interception - France Inter Type de document : enregistrement sonore non musical Année de publication : 2013 Importance : 39 min. Langues : Français (fre) Mots-clés : Emission de radio ; France Résumé : Depuis quelques années, les camps illégaux de Roms font régulièrement la une des journaux. Ils sont
devenus un enjeu politique. Le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, a encore rappelé la semaine
dernière, à quelques jours de la fin de la trêve hivernale des expulsions, que les démantèlements de
ces camps illicites –on en compte environ 400 en France- allaient se poursuivre. Une politique guère
différente de celle menée sous la présidence de Nicolas Sarkozy et critiquée par les associations de
défense des droits de l’homme. Ces démantèlements ne font souvent que déplacer le problème. Les
quelque 20.000 Roms présents en France, originaires pour la plupart de Roumanie et de Bulgarie, vont
de campement en campement mais, pour beaucoup d’entre eux, ils n’ont pas l’intention de retourner
dans leur pays d’origine où ils sont encore moins bien traités. Ils sont citoyens européens et en tant
que tels, ils auront à la fin de cette année le droit de travailler en France, ce qui leur permettra
peut-être de ne plus vivre seulement de mendicité, d’expédients ou de trafics. Et les Roms, eux, que
pensent-ils de cette situation ? Comment vivent-ils dans ces camps qui sont de véritables bidonvilles ?
Il est rare qu’on leur donne la parole. Julie Marie-Leconte a passé quelques jours dans un camp qui
regroupe près de 400 personnes, à Bobigny.
Invitée : Julie Marie-LeconteDe la boue, des rats et des Roms : Emission Interception - France Inter [enregistrement sonore non musical] . - 2013 . - 39 min.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Emission de radio ; France Résumé : Depuis quelques années, les camps illégaux de Roms font régulièrement la une des journaux. Ils sont
devenus un enjeu politique. Le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, a encore rappelé la semaine
dernière, à quelques jours de la fin de la trêve hivernale des expulsions, que les démantèlements de
ces camps illicites –on en compte environ 400 en France- allaient se poursuivre. Une politique guère
différente de celle menée sous la présidence de Nicolas Sarkozy et critiquée par les associations de
défense des droits de l’homme. Ces démantèlements ne font souvent que déplacer le problème. Les
quelque 20.000 Roms présents en France, originaires pour la plupart de Roumanie et de Bulgarie, vont
de campement en campement mais, pour beaucoup d’entre eux, ils n’ont pas l’intention de retourner
dans leur pays d’origine où ils sont encore moins bien traités. Ils sont citoyens européens et en tant
que tels, ils auront à la fin de cette année le droit de travailler en France, ce qui leur permettra
peut-être de ne plus vivre seulement de mendicité, d’expédients ou de trafics. Et les Roms, eux, que
pensent-ils de cette situation ? Comment vivent-ils dans ces camps qui sont de véritables bidonvilles ?
Il est rare qu’on leur donne la parole. Julie Marie-Leconte a passé quelques jours dans un camp qui
regroupe près de 400 personnes, à Bobigny.
Invitée : Julie Marie-LeconteExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
De la boue, des rats et des RomsURL
Titre : De la boue, des rats et des Roms : émission Interception, France Inter, diffusion le 24 mars 2013 Type de document : enregistrement sonore non musical Année de publication : 2013 Importance : 39 min Langues : Français (fre) Mots-clés : Emission de radio ; France ; Rom migrant ; Seine Saint Denis Résumé : Depuis quelques années, les camps illégaux de Roms font régulièrement la une des journaux. Ils sont
devenus un enjeu politique. Le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, a encore rappelé la semaine
dernière, à quelques jours de la fin de la trêve hivernale des expulsions, que les démantèlements de
ces camps illicites –on en compte environ 400 en France- allaient se poursuivre. Une politique guère
différente de celle menée sous la présidence de Nicolas Sarkozy et critiquée par les associations de
défense des droits de l’homme. Ces démantèlements ne font souvent que déplacer le problème. Les
quelque 20.000 Roms présents en France, originaires pour la plupart de Roumanie et de Bulgarie, vont
de campement en campement mais, pour beaucoup d’entre eux, ils n’ont pas l’intention de retourner
dans leur pays d’origine où ils sont encore moins bien traités. Ils sont citoyens européens et en tant
que tels, ils auront à la fin de cette année le droit de travailler en France, ce qui leur permettra
peut-être de ne plus vivre seulement de mendicité, d’expédients ou de trafics. Et les Roms, eux, que
pensent-ils de cette situation ? Comment vivent-ils dans ces camps qui sont de véritables bidonvilles ?
Il est rare qu’on leur donne la parole. Julie Marie-Leconte a passé quelques jours dans un camp qui
regroupe près de 400 personnes, à Bobigny.De la boue, des rats et des Roms : émission Interception, France Inter, diffusion le 24 mars 2013 [enregistrement sonore non musical] . - 2013 . - 39 min.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Emission de radio ; France ; Rom migrant ; Seine Saint Denis Résumé : Depuis quelques années, les camps illégaux de Roms font régulièrement la une des journaux. Ils sont
devenus un enjeu politique. Le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, a encore rappelé la semaine
dernière, à quelques jours de la fin de la trêve hivernale des expulsions, que les démantèlements de
ces camps illicites –on en compte environ 400 en France- allaient se poursuivre. Une politique guère
différente de celle menée sous la présidence de Nicolas Sarkozy et critiquée par les associations de
défense des droits de l’homme. Ces démantèlements ne font souvent que déplacer le problème. Les
quelque 20.000 Roms présents en France, originaires pour la plupart de Roumanie et de Bulgarie, vont
de campement en campement mais, pour beaucoup d’entre eux, ils n’ont pas l’intention de retourner
dans leur pays d’origine où ils sont encore moins bien traités. Ils sont citoyens européens et en tant
que tels, ils auront à la fin de cette année le droit de travailler en France, ce qui leur permettra
peut-être de ne plus vivre seulement de mendicité, d’expédients ou de trafics. Et les Roms, eux, que
pensent-ils de cette situation ? Comment vivent-ils dans ces camps qui sont de véritables bidonvilles ?
Il est rare qu’on leur donne la parole. Julie Marie-Leconte a passé quelques jours dans un camp qui
regroupe près de 400 personnes, à Bobigny.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
_1URL Champ libre (1/5) : "Tziganes" ; Champ libre (2/5) : "Rom sur Loire"
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkL'Etat doit payer le logement des Roms ?
PermalinkPermalinkI Go Yougo, un voyage musical en Yougoslavie. A la découverte des véritables musiques tsiganes / Simon Rico
PermalinkInjonction à l'opinion? De la participation à un projet radiophonique à la construction d'une subjectivité politique chez des jeunes femmes roms / Anne-Cécile Caseau
PermalinkLe jardin / Les mécontents / Marche blanche pour Ionut / Cristina et Larissa
PermalinkJe ne suis pas raciste, mais les Roms...
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (1/2) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (13/14/15/16) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (17/18/19) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (20/21/22) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (23/24/25) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (26/27/28) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (29/30/31) / Jean Vilain
PermalinkPermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (32/33/34) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (35/36/37) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (38/39/40) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (4/5/6/7) / Jean Vilain
PermalinkMa grand-mère les appelait les Bohémiens (8/9/10/11/12) / Jean Vilain
PermalinkPermalinkPAS DE ROMS DANS LE PASTIS.
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkRomanès et les Roms / Alexandre Romanes
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkRoms : vivre dans un campement de fortune
PermalinkLa santé des Roms et des gens du voyage (1ere et 2eme partie)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalink