Titre : |
De la boue, des rats et des Roms : émission Interception, France Inter, diffusion le 24 mars 2013 |
Type de document : |
enregistrement sonore non musical |
Année de publication : |
2013 |
Importance : |
39 min |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Emission de radio ; France ; Rom migrant ; Seine Saint Denis
|
Résumé : |
Depuis quelques années, les camps illégaux de Roms font régulièrement la une des journaux. Ils sont
devenus un enjeu politique. Le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, a encore rappelé la semaine
dernière, à quelques jours de la fin de la trêve hivernale des expulsions, que les démantèlements de
ces camps illicites –on en compte environ 400 en France- allaient se poursuivre. Une politique guère
différente de celle menée sous la présidence de Nicolas Sarkozy et critiquée par les associations de
défense des droits de l’homme. Ces démantèlements ne font souvent que déplacer le problème. Les
quelque 20.000 Roms présents en France, originaires pour la plupart de Roumanie et de Bulgarie, vont
de campement en campement mais, pour beaucoup d’entre eux, ils n’ont pas l’intention de retourner
dans leur pays d’origine où ils sont encore moins bien traités. Ils sont citoyens européens et en tant
que tels, ils auront à la fin de cette année le droit de travailler en France, ce qui leur permettra
peut-être de ne plus vivre seulement de mendicité, d’expédients ou de trafics. Et les Roms, eux, que
pensent-ils de cette situation ? Comment vivent-ils dans ces camps qui sont de véritables bidonvilles ?
Il est rare qu’on leur donne la parole. Julie Marie-Leconte a passé quelques jours dans un camp qui
regroupe près de 400 personnes, à Bobigny. |
De la boue, des rats et des Roms : émission Interception, France Inter, diffusion le 24 mars 2013 [enregistrement sonore non musical] . - 2013 . - 39 min. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Emission de radio ; France ; Rom migrant ; Seine Saint Denis
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Résumé : |
Depuis quelques années, les camps illégaux de Roms font régulièrement la une des journaux. Ils sont
devenus un enjeu politique. Le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, a encore rappelé la semaine
dernière, à quelques jours de la fin de la trêve hivernale des expulsions, que les démantèlements de
ces camps illicites –on en compte environ 400 en France- allaient se poursuivre. Une politique guère
différente de celle menée sous la présidence de Nicolas Sarkozy et critiquée par les associations de
défense des droits de l’homme. Ces démantèlements ne font souvent que déplacer le problème. Les
quelque 20.000 Roms présents en France, originaires pour la plupart de Roumanie et de Bulgarie, vont
de campement en campement mais, pour beaucoup d’entre eux, ils n’ont pas l’intention de retourner
dans leur pays d’origine où ils sont encore moins bien traités. Ils sont citoyens européens et en tant
que tels, ils auront à la fin de cette année le droit de travailler en France, ce qui leur permettra
peut-être de ne plus vivre seulement de mendicité, d’expédients ou de trafics. Et les Roms, eux, que
pensent-ils de cette situation ? Comment vivent-ils dans ces camps qui sont de véritables bidonvilles ?
Il est rare qu’on leur donne la parole. Julie Marie-Leconte a passé quelques jours dans un camp qui
regroupe près de 400 personnes, à Bobigny. |
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